Thérapie magnétique

Technique complémentaire qui consiste à placer des aimants naturels à charge positive et négative sur le corps afin de niveler le pH (le pH est le potentiel hydrogène ou le degré d’acidité ou d’alcalinité contenu dans l’eau de notre corps), de manière à ce que l’organisme humain retrouve son homéostasie.

L’emplacement des paires biomagnétiques est associé aux points d’acupuncture de la médecine traditionnelle chinoise.

Qu’est-ce qui est arrivé en premier, les déchets ou les mouches/larves, qu’est-ce qui leur a permis de rester et de se répandre ? Que se passerait-il si nous nettoyions et lavions le conteneur à déchets au lieu d’attaquer les mouches/larves avec un insecticide ? Le nettoyage du sol implique la non-prolifération des organismes pathogènes qui, en excès, sont nocifs et ce que les champs magnétiques génèrent, c’est que le sol biologique retrouve sa capacité d’autorégulation et son pH adéquat. (±7,3) pour le sang, la sueur, les larmes et le pH approprié pour chacun des organes du corps humain. Ainsi, en corrigeant le sol, les micro-organismes perdent ce terrain favorable à leur reproduction pathogène.

1. Amélioration de la circulation sanguine,
2. Régénération cellulaire,
3. Favorise la cicatrisation et la formation de cals dans les fractures osseuses
4. Prévention du vieillissement de la peau
5. Relaxation musculaire
6. Réduction de l’inflammation
7. Désintoxication

Ce sont des molécules hyperactives dont les électrons sont déséquilibrés (manquants ou volés) et qui sont capables d’oxyder rapidement d’autres molécules ; elles initient de véritables réactions en chaîne qui laissent dans leur sillage des dommages à l’arrangement moléculaire. Les radicaux libres se manifestent par l’oxydation cellulaire, c’est-à-dire la perte d’électrons par les cellules, et de ce point de vue, la paire bio magnétique nous est bénéfique :

Céder des électrons en cas d’oxydation

Équilibrer les charges positives et négatives au niveau biochimique (retrouver un pH adéquat) et donc retrouver leur capacité d’autorégulation et d’autoguérison.

L’excès d’acidité oblige l’organisme à faire appel aux minéraux – notamment le sodium, le calcium, le potassium et le magnésium – des organes vitaux pour neutraliser l’acide et l’éliminer en toute sécurité de l’organisme. En conséquence, l’organisme peut souffrir d’une « corrosion » sévère et prolongée due à une acidité élevée, un état qui peut passer inaperçu pendant des années. Par conséquent, lorsqu’il y a un excès d’acide qui doit être constamment neutralisé, nos réserves alcalines sont épuisées, ce qui affaiblit l’organisme. Sous l’effet de cette action, l’obésité, la baisse de l’immunité, le manque d’énergie et toutes les maladies liées à l’acidité auxquelles nous sommes exposés, comme le cancer, le diabète, l’arthrose et bien d’autres, se manifestent souvent.

Dans un tissu sain, le pH est généralement neutre et se situe à 7,3 ; lorsqu’il s’élève ou descend en dessous de cette mesure, il évolue vers l’acidité ou l’alcalinité et cet environnement est propice à la vie et au développement de bactéries, de virus, de champignons et de parasites qui, lorsqu’ils se multiplient en raison de la modification du sol, ont tendance à agir à l’encontre de la santé humaine. En dissipant l’acidité anormale de l’organisme, nous supprimons l’environnement favorable au micro-organisme qui s’est développé de manière inappropriée et qui a causé les affections, de sorte que dans la plupart des cas il est réduit ou meurt, et par conséquent la personne traitée commence à ressentir une amélioration notable.

Peau : abcès, ulcères, brûlures, acné, cellulite, psoriasis, vieillissement.

Système nerveux : anxiété, angoisse, céphalées de tension, insomnie, lésions nerveuses, paralysie, névralgie, herpès zoster, névrite, paralysie faciale, maladie de Parkinson.

Cérébrovasculaire : sclérose en plaques, troubles de la mémoire, syndrome de Guillain-barre, polyneuropathie nutritionnelle et diabétique, traumatisme.

Système respiratoire : asthme bronchique, bronchite, insuffisance respiratoire, sinusite.

Système cardiovasculaire : anémie, hémorragie, hypertension artérielle, varices, angine de poitrine, arythmie, phlébite, ulcères variqueux, lymphœdème, pied diabétique.

Système digestif : atonie colique ou intestin paresseux, atonie stomacale, calculs biliaires (vésiculaires), côlon irritable, colique biliaire, colique stomacale et intestinale, colite aiguë, chronique et ulcéreuse, dyspepsie et indigestion, gastrite aiguë et chronique, hépatite, hémorroïdes, météorisme (gaz dans le côlon dû à la fermentation intestinale), constipation chronique.

Système ostéomyoarticulaire : Crampes musculaires, arthrite, fractures, goutte (arthrite urique), douleurs dorsales, arthrite rhumatoïde, arthropathie aiguë, arthrose, contusions, luxations, bursites, états post-traumatiques, Lumbociatalgie, Ostéoporose, Cervicobrachialgie, Dorsalgie, Lumbalgie, Coxarthrose, Spondyloarthrose, Gonarthrose, Syndrome du canal carpien, Epine calcanéenne, Tendinite d’Achille, Déchirures musculaires, Epicondylite, Entorse, Hématome, Hernie discale, Ostéomyélite, Pseudarthrose, Retard de cicatrisation osseuse, Epaule douloureuse, Calcifications, Atrophie de Sudek, Greffes osseuses, Remplacement prothétique, Lésion ligamentaire, Ténosynovite, Syndrome compressif radiculaire cervical et lombaire, Syndrome vertigineux cervical, Myélopathie spondylaire cervicale, Spondylite, Hallux valgus symptomatique.

Système urinaire : calculs rénaux, uretères et vessie, cystite, néphrite, néphrose, prostatite, orchite, urétrite, énurésie.

Système gynécologique : Fibromes, infertilité féminine, règles abondantes, absence de règles (aménorrhée), règles fréquentes ou irrégulières, règles douloureuses (dysménorrhée), cervicite, syndrome prémenstruel, herpès génital, varices pelviennes, maladie inflammatoire pelvienne.

Ophtalmologie : Glaucome, rétinopathies diabétiques, conjonctivite, cataracte, presbytie, ulcère de la cornée.

Autres : Tumeurs bénignes, états post-chirurgicaux.